La société de communication et son corollaire le plus extraverti, à savoir les médias, sont au coeur du travail de Sylvain Ciavaldini.
Tout en se mettant en scène lui-même, il interroge le statut de l’artiste, la nature de l’œuvre d’art et leur rapport au public. Son travail se situe dans un entre-deux singulier ou se croisent le comique et le tragique.
Par-delà tous les mécanismes qui contribuent à fabriquer des héros modernes, le vidéaste met avant tout à plat l’évidence de la difficulté d’être.